Les Amis de Robert Margerit
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Cahiers Robert Margerit n° IX (2005 - 430 pages)
Sommaire


01 – Éditorial. Un journal jeune de cent ans. Hommage à la longévité du Populaire du Centre dont Robert Margerit fut rédacteur en chef.


Études margeritiennes :
consultez en intègralité chaque texte de cette rubrique en suivant le lien


02 – Une lecture du journal de Robert Margerit.
Première partie 1934-1954. Jean Vergnaud
Cette étude très importante s’étalera sur trois Cahiers. Dans cette première partie, Jean Vergnaud présente son analyse suivie de longs extraits du Journal (pages 53 à 89). De la présentation, retenons ces lignes : «Oubliant les recherches d’écriture qui caractérisent presque toujours ses romans, l’auteur y note de façon simple , mais très irrégulière et dans le plus grand désordre, des détails concrets ou des réflexions personnelles concernant sa vie quotidienne, ses relations familiales et sociales, mais aussi, bien entendu, son activité de peintre ou d’écrivain». En lisant et étudiant Margerit, Jean Vergnaud, le professeur toujours souriant, est devenu ce guide indispensable à tout lecteur que découragerait l’approche d’un écrivain grand amateur de complications.

03 – Robert Margerit : Un érotisme de bonne compagnie
André-Guy Couturier : «Comment donc ce diable d’homme s’y prend-il pour réussir cette subtile alchimie qui donne à ses histoires une belle coloration érotique tout en évitant les excès?…» «C’est pour lui qu’il écrit, pour s’enchanter de ses amours passées» conclut André-Guy Couturier.

04 – Julien Gracq / Robert Margerit, correspondance… Marielle Sassi
Deux écrivains s’apprécient dans leurs différences. Margerit, critique, avait d’emblée compris et salué « l’oeuvre fulgurante » de Julien Gracq, qui «ébranlait la conception romanesque du siècle passé». De la correspondance, ne figurent dans les archives margeritiennes que les treize lettres de Julien Gracq où se mêlent sympathie un peu froide et amabilité ; avec toujours la préférence affichée pour Mont-Dragon et le personnage de Dormond.

05 – Le journalisme et La Femme forte, François Gilardi
Avec cinquante ans de décalage, le directeur du Populaire du Centres’interroge sur cette incongruité des années 50: une femme, homosexuelle de surcroit, dirige un journal, un destin d’homme qui conduit à la chute.


06 – Jean Blanzat et Robert Margerit,
les rapports complexes de l’écrivain et de l’éditeur,
Robert Laucournet C’est le récit de la première rencontre entre Margerit, journaliste et Jean Blanzat, romancier et critique, venu à la demande de Georges-Emmanuel Clancier donner une conférence à Limoges, le 28 avril 1937, à 20h49, salle du Cyrano.

07 – Ambigu(ës) ou les deux secrets, Pierre Silvain
«Ainsi va et court la plume de Laurence, comme s’il lui fallait exorciser la souffrance, la torture de ce qui sans fin suscite le désir et à la fois son impossible comblement. » En une dizaine de pages fort savantes, on passe de Laurence à Zambinella, de Balzac à Margerit.

08 – Margerit rêvait-il à Sagan ? Jean-Marie Maumy
Plaidoyer pour, plaidoyer contre, une seule certitude : il a inventé un personnage qui ressemble beaucoup à l’auteure de Bonjour Tristesse.

09 – Un Clancier bien oublié: le journaliste, Roger Kenette
Un long travail de recherche a permis de mettre en lumière une période riche et féconde pour Georges-Emmanuel Clancier, reporter et visionnaire. En trois textes prophétiques, il annonce les guerres à venir : Indochine et Algérie.

10 – Le Pain noir. Souvenirs d’un tournage en Limousin, Éric Simon
Excellent récit de notre compatriote qui réussit à se faire embaucher par Serge Moati qui en fit un assistant heureux. Serge Moati, prix Albert Londres, tout auréolé d’une jeune gloire de cinéaste allait réaliser un film qui enchanterait le Limousin.

11 – Hommage à Paul Rebeyrolle, Roger Kenette
Né à Eymoutiers le 3 novembre 1926, décédé le 7 février 2005 à Boudreville (Côte-d’Or). Il avait ses admirateurs—fort nombreux—. Il avait ses détracteurs—fort apeurés—. Son talent a connu une reconnaissance presque immédiate. Il a fondé le musée Rebeyrolle à Eymoutiers.

12 – Maurice-Bernard Endrèbe. Il était né à Limoges en 1918. Il est décédé à Paris en 2005. Il fut un des maîtres du roman policier, un critique craint et respecté. Robert Margerit lui avait ouvert la page littéraire du Populaire et il prodiguait là son irremplaçable savoir encyclopédique.

13 – Jacques Lacarrière. Né à Limoges le 2 décembre 1925, décédé le 17 septembre 2005 dans un hopital parisien, des suites d’une banale opération du genou. L’infatigable marcheur, auteur de L’été grec, son plus célèbre ouvrage, aura parcouru à pied, pendant vingt ans, la Grèce dans tous ses sentiers. Il nous a laissé le Dictionnaire amoureux de la Grèce, fruit de sa passion et Chemin faisant que connaissent tous les amateurs de marche à pied.

14 – Martial Marcheix
Une nouvelle de Marc Formet.

15 – Portrait : Claude Vast. Paul Julliard. Président de l’association Aquarium du Limousin, médecin, biologiste capacitaire pour tous poissons et invertébrés, Claude Vast cumule tant de titres et de publications qu’il est impossible d’en donner la liste. Il a offert aux Cahiers Margerit un merveilleux texte : Faune aquatique, mythologies et religions.

16 – La chronique des livres.
Régine Deforges : Les Poètes et les putains.
Bruno Kartheuser : Les Pendaisons de Tulle, 9 juin 1944.
Claudine Monteil : Les Soeurs Beauvoir.
A.-Louise Staman: Assassinat d’un éditeur à la Libération.
Jean Bothorel: J.-J. S.-S. Celui qui voulait tout changer.
Marie-Françoise Greminger : Antoine Coudert.
Évelyne Proust : La Sculpture romane en Bas-Limousin.
Pierre Vayre : De l’art à la science en chirurgie / Trois limousins à Paris au XIXe siècle.
Georges-Emmanuel Clancier : L’Éternité plus un jour, édition définitive.
Pierrette Fleutiaux: Les Amants imparfaits.
Mathieu Riboulet: Le Corps des anges.

17 – L’énigmatique monsieur Paroutaud, André-Guy Couturier : «Pour qui s’interroge sur le sens de cette oeuvre atypique, où se mêlent allègrement la satire sociale, le cauchemar, la méditation philosophique et une certaine fascination pour l’horreur, l’angoisse existentielle semble bien le moteur fondamental de l’écriture.»

18 – Jean Colombier : Et le soleil aussi…, Prix Renaudot boudé par son éditeur, Jean Colombier nous offre une suite à son roman J’ai trop regardé les étoiles.



Ces textes sont consultables sur place, à l’association.
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Toutes illustrations d'après Robert Margerit