Cahier Robert Margerit n° VII (2003 - 266 pages)
Sommaire
01 –
Avant-propos, Robert Laucournet.
Études margeritiennes : consultez en intègralité chaque texte de cette rubrique en suivant le lien
02 –
Robert et Bruno, Suzanne, Josette, Françoise et les autres,
Jean Vergnaud a choisi ce titre pour nous conduire à une étonnante croisée
de chemins. Sa préface annonce
La Vie littéraire, une belle histoire en 70 pages
qui nous promène entre
Le Dieu nu, La Malaquaise et
Par un été torride.
Ne suivez pas le conseil de Jean Vergnaud et lisez la postface sans attendre.
Et tout deviendra lumineux.
03 –
Petite histoire d’une vieille histoire. Avec
L’Aventure de monsieur Douhet,
André-Guy Couturier s’offre et nous offre une occasion privilégiée d’observer
comment Robert Margerit s’inspire de l’Histoire et s’en nourrit pour faire acte
de création littéraire.
04 –
Variable avec éclaircies. Insoluble question posée par Claire Sénamaud:
«Comment, quand on a une vie
intérieure si riche, peut-on s’intéresser au
passage des nuages dans un ciel qu’on ne prend pas le temps de contempler?»
05 –
Cette autre guerre…La réédition de
La Terre aux loups, trente ans après sa
publication, nous vaut cette analyse flamboyante de Gilles Lapouge: «
La Terre
aux loups nous revient, et il est tout neuf. À lire ces pages exaltées, on se
demande comment un texte pareil a pu faire naufrage et laisser si peu de
trace dans la mémoire.»
06 –
Ombres, sapins et salamandres. Pierre Bergounioux se penche sur un temps
disparu, qui se réveille dans la maison où les morts ont vécu, où l’on revient
d’une année sur l’autre, pour quelques jours en juillet.
Pour Paul Viallaneix, Pierre Bergounioux est le dernier grand écrivain de
cette Atlantide qu’est la Corrèze d’hier.
07 –
Jean Colombier nous offre une nouvelle inédite et surréaliste :
deux gendarmes rient.
08 –
Vincent Pélissier : Sur le bord, l’auteur est médecin, originaire de Firbeix
et s’interroge sur les confins, les lieux étranges, points de rencontres et lignes
de fuite.
09 –
Pierre Silvain: Ce que m’ont appris les rigoles, je sais gré aux rigoles de
m’avoir instruit dans l’art du roman. J’ai repensé à elles, après des années,
alors que je ne savais comment me tirer d’un ouvrage en panne.
10 –
Richard Millet, un écrivain dans notre temps. Marielle Sassi raconte le choc, émotionnel dérangeant et exquis que déclenche la lecture de
La Gloire des Pythre,
de
L’Amour des soeurs Piale ou du
Renard dans le nom.
11 –
Louis Codet (1876-1914)
ou le bon maître, étudié par Thierry Granet.
Écrivain talentueux, ami des peintres et des poètes, il a été blessé à mort par
un éclat d’obus le 5 novembre 1914 dans les Flandres. Henry Bataille, homme
de théâtre célèbre à l’époque, le complimentait ainsi : «On sent que vous avez
l’habitude d’être intelligent ».
Louis Codet a été enterré dans sa ville de Saint-Junien.
12 –
À la recherche de Paule Lavergne, Geneviève Laleuf nous confie son premier
texte de réhabilitation de cette institutrice limousine, «grand écrivain par
trop méconnu», ce qu’écrivait Jean Orieux, célèbre pour ses biographies.
13 –
Marcel Jouhandeau, le diable de Chaminadour, biographie de Jacques
Roussillat, Éditions Bartillat, 445 pages, 24 euros. Ouvrage lu par Jane Blanchet,
petite cousine de l’écrivain qui ajoute quelques souvenirs personnels.
14 –
Le colloque de Cerisy, Arlette Albert-Birot a dirigé ce colloque consacré
à Georges-Emmanuel Clancier en 2001, publié en ouvrage collectif en 2003
par Pulim sous ce titre :
Georges-Emmanuel Clancier, passager du siècle.
15 –
Naissance du Centre Théâtral du Limousin, Paul Julliard qui en fut acteur
avec Jean-Pierre Laruy et Georges Régnier raconte une grande aventure dont
on a du mal à imaginer aujourd’hui combien elle fut difficile et matériellement
inimaginable.
16 –
Lecture de: Georges-Emmanuel Clancier (
Terre de Mémoires), Jacques Lacarrière,
Denis Tillinac, Vincent Pélissier, Gilles Lapouge, Bruno Karthauser, etc.
Ces textes sont consultables sur place, à l’association.
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